Actualités Facilium

Publié le mercredi 10 août 2022

S’épanouir au travail tout en préservant sa vie privée

Nous y passons moins de temps que nos aïeux, nous choisissons de plus en plus le travail qui nous collera à la peau. Et pourtant, nous avons su développer une tendance plutôt néfaste. Nos vies professionnelles empiètent bien souvent sur notre perso avec un soupçon de stress (Encore lui !), l’épuisement en filigrane. Pour un tableau parfait, comment trouver le juste équilibre ?

Visualisons nos journées et mesurons-les ! 

Lister les tâches sur l’agenda, nous le faisons tous. Et c’est bien ! Il faut continuer tout simplement pour avoir le plaisir de les rayer après leur réalisation. Mais attention ! Le cerveau étant un organe sensitif et sensoriel, rayer dans la tête ne suffit pas. Pour qu’il comprenne bien, il faut lier le geste à la pensée. La charge mentale en sera véritablement allégée. C’est bon pour le moral et pour la motivation. 

Apprenons à dire non…

Facile à dire ! Pourtant, donner des limites vous garantit une densité de travail raisonnable. Dire non à un excédent de tâches, c’est respecter son corps, son mental et ses émotions. On prévient l’épuisement et l’on respecte sa qualité de vie au travail. Il ne s’agit pas de tout refuser en bloc. Le salarié peut proposer une autre solution gagnant-gagnant pour sa vie privée comme pour son employeur. Diplomatie et sérénité.

D’ailleurs, quels sont les contours de ce qu’on appelle vie privée ?

La question est cruciale, justement. La vie privée n’est pas seulement l’espace-temps qui ponctue nos journées de travail. C’est aussi, de façon beaucoup plus globale et permanente, notre équilibre et notre épanouissement alors même que nous sommes en poste. Il n’est plus à prouver que les tensions et autres surcharges professionnelles ont un impact sur nos nuits, notre patience et notre présence réelle et totale à la maison.

Ne nous laissons pas déborder au travail 

Avant de terminer nos journées, pensons aux « temps tampons ».  Pendant la dernière demi-heure, il s’agit de se consacrer à des petites tâches qui prendront peu d’énergie. En cas de gros dossier à traiter, il est possible de le scinder en parties et de terminer l’une d’entre elles avant de quitter son poste. L’objectif est toujours le même : mettre le cerveau au repos et alléger la charge. Enfin, finir à l’heure prévue reste le secret pour ne pas mélanger nos deux univers.

En un mot…

La frontière entre travail et vie privée n’est pas seulement temporelle. Elle est aussi mentale. Le premier pas est d’en prendre conscience. Le second consiste à redessiner les contours de nos vies.  Le jeu en vaut la chandelle pour notre santé physique, émotionnelle et mentale. Par ailleurs, conserver son havre de paix nous rend plus performant au travail. C’est gagnant-gagnant !