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Publié le jeudi 23 juin 2022

L’humain fait la force – Interview

Pauline Rouley, 26 ans, est chargée de recrutement chez Facilium qu’elle a intégré après avoir obtenu son diplôme RH. Elle nous explique comment Facilium fait vibrer ses valeurs humaines. 

Parlez-nous de votre métier. Depuis combien de temps l’exercez-vous ? 

J’ai préparé une licence de responsable RH en alternance dans une agence d’intérim nationale. J’avais le souhait d’apporter de la valeur humaine et un véritable accompagnement dans mon travail. Je trouve ce métier vraiment riche de sens, dans un monde qui devient très égocentré. Le métier de chargée de recrutement ne s’arrête pas à une proposition de mission. Je veille à procurer une expérience candidat/intérimaire forte (un accompagnement, un suivi et une connaissance des intérimaires) ! 

Qu’est-ce qui diffère ici comparé à d’autres expériences de recrutement ? 

Notre plus-value c’est la connaissance des intérimaires et celle de nos clients, les PME. Nos forces sont le relationnel et la transparence. Ça va matcher !  C’est ce que l’on dit lorsqu’on met en relation un candidat qui correspond aux besoins du client ou encore lorsque nous proposons un candidat sans que les besoins n’aient été explicitement annoncés.

Pour connaître le terrain, vous allez dans les entreprises ? 

Oui, idéalement en amont, j’effectue une visite du poste et je me renseigne sur son évolution. Je vois le contexte, le profil du bâtiment, la taille, etc. Puis, je réalise une visite de sécurité quand le salarié est en poste. Il faut avoir un naturel curieux pour poser un maximum de questions aux clients sur l’environnement du poste et la mission proposée.

Il faut beaucoup d’empathie visiblement pour faire votre métier ? 

C’est certain. La bienveillance est indispensable. À mon poste, j’essaie de me mettre à la place des intérimaires. Nous leur demandons une très forte flexibilité. La première mission peut-être impressionnante. C’est une nouveauté qui demande beaucoup d’énergie. Je mets un point d’honneur à accompagner l’intérimaire en faisant des points réguliers, pour qu’il s’imprègne de l’entreprise chez qui il réalise la mission et qu’il ne nous oublie pas. Nous sommes là en cas de besoin et restons l’interlocuteur privilégié dans cette relation. 

Dans un entretien professionnel, le feeling prime. C’est votre avis ? 

Tout à fait. Pour moi, la rencontre comprend trois parties : le parcours et les souhaits du candidat, une proposition (projection sur différents postes, en expliquant les missions disponibles) et les grandes lignes de notre fonctionnement. Les intérimaires peuvent tout à fait refuser une mission. Selon nous, la collaboration fonctionnera seulement si chacun s’y retrouve. Nous apprenons à nous connaître. Nous nous adaptons au fur et à mesure. Notre fonctionnement favorise aussi le fameux bouche-à-oreille. 

Est-ce qu’on peut parler d’esprit de village ? 

Oui complètement ! Vous savez, c’est un peu comme dans ces anciennes entreprises familiales. Les gens se connaissaient, fêtaient les naissances, prenaient des nouvelles de la famille, etc. Chez Facilium c’est comme ça. Nous y tenons. Le lien est créé dès le début par ce premier contact. 

Une couleur ? 

Aux couleurs déjà présentes, j’ajouterai le blanc pour l’authenticité des rapports humains chez nous.

4 mots associés à Facilium ?

Je dirais l’humanité, l’accompagnement et l’engagement. La transparence aussi, pour savoir dire rapidement quand ça ne va pas. 

Enfin, si vous deviez trouver un slogan ? 

« L’humain fait la force »